24 CARATS STARS : CHARLOTTE LEMAY

CHARLOTTE LEMAY technikart

La it-mannequin Charlotte Lemay est notre influenceuse préférée. Peut-être parce qu’elle est aussi écolo que glam’. Entretien franc du collier (éthique).

Tu es mannequin depuis 14 ans et créatrice de contenus depuis 2021. De quelle façon as-tu intégré ton engagement dans ta vie professionnelle
Charlotte Lemay : Je l’ai fait progressivement en prenant le train plutôt que l’avion pour les shootings, et en refusant de travailler pour des marques de fast-fashion.

Ton regard sur l’industrie de la mode ?
Le discours évolue, notamment avec Stella McCartney, dans le choix des matières, et son engagement pour l’environnement et les animaux. Il y aussi Chloé qui vient d’être certifiée par le label B-Corp. Ces modèles encouragent à plus de transparence.

Tu as créé Aware Collective en 2022, qu’est-ce que c’est ?
Un collectif pour sensibiliser les créateurs de contenus à l’écologie. On organise des voyages avec des intervenants sur différents thèmes. Pour celui sur la mode, nous sommes partis avec Fairly.Made, qui aide les marques à mettre des QR Code sur les vêtements. Le prochain est avec le média The Good Goods.

Tes recommandations de marques éco-responsables ?
Pour la beauté, il y a Dr.Hauschka, La Bouche Rouge. Et dans la gamme des soins, Clarins. Sinon, Écoalf , Nénés Paris, The Odder Side et Atelier Tuffery, pour des marques de mode. Et côté joaillerie, je conseille JEM, Rouvenat, et Héloïse & Abélard.

Le pitch de ton livre Influenceur.se engagé.e (éditions Jouvence) ?
C’est un guide pratique sur l’environnement et les réseaux sociaux qui s’adresse à toutes les personnes qui souhaitent en savoir plus sur les métiers d’influence.

COLLIER «BOLT VICTOIRE»
BROCHE DU 19E SIÈCLE, DIAMANT TAILLE ANCIENNE 0.9 CARAT ET PERLE NOIRE 2.9 CARATS ROUVENAT

Sandrine de Laage réinvente la maison Rouvenat avec l’éco-joaillerie. Ces iconiques bijoux-rosaces de l’époque sont de nouveaux porteurs de sens à travers l’or et l’argent recyclés. Une fusion du passé, du présent et du futur.

Par Anaïs Dubois
Photo Julien Grignon