JEAN NIPON, PLATINE MAN

Jean Nippon

« LET HER DANCE » (1965) BOBBY FULLER FOUR


C’est l’explosion totale, cris de coyotes sous des guirlandes de guitares, tandis qu’une reverb’ se noie dans une lamentation joyeuse d’ado éternel. Il voit l’objet de son désir flirter avec un autre, mais il est tellement excité qu’il lâche un «c’est pas grave, va danser, je continuerai ailleurs». Explosion de sève.